Alors… On m’avait prévenu : il ne passe rien durant deux heures et on a juste droit à un baiser gay (un peu) langoureux, avant le générique de fin. On ne m’avait pas menti : Taekwondo de Marco Berger et Martín Farina est très bavard et contemplatif. L’esthétique est bel et bien présente. Le scénario, lui, est absent.
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