Avec Beyoncé, on ne sait jamais trop à quoi s’attendre. D’un côté, on a tous, plus ou moins, succombé à Crazy in Love, Baby Boy (et sa danse orientale très… bandante) et Naughty Girl, pour ne citer que les titres qui l’ont propulsée en tant qu’artiste solo, et ainsi fait oublier les Destiny’s Child et leurs Bills Bills Bills. De l’autre, on a été vraiment agacés de l’entendre toujours faire la même chose, avec un deuxième album qui a divisé beaucoup de monde, après un Dangerously in Love largement plébiscité par le public et la critique. Bizarrement, je dirais que je n’ai commencé à accrocher vraiment à cette chanteuse qu’à partir de B’Day, avec ses rythmes sauvages et ce physique ingrat (pour certains) qui la faisaient néanmoins passée (pour d’autres) pour une délicieuse lionne enragée. Alors que je trouvais DIL sans grand intérêt et trop long, avec son grand nombre de ballades à n’en plus finir.
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