C’est la première fois depuis Le Voyage d’Arlo que je pleure presque à chaudes larmes au cinéma. Ce n’était pas (du tout) voulu de ma part, surtout que j’allais voir Pete’s Dragon en n’ayant pas d’attente particulière. Je n’ai d’ailleurs jamais vu la version de 1977, donc je ne pourrai pas juger par rapport à cette dernière. En lisant le synopsis sur Allociné, je retrouve cependant des similitudes dans le « remake » de 2016. Ce qui n’empêche pas celui-ci de développer son propre scénario.