Après la vague déferlante rétro intemporelle lancée par Amy Winehouse en 2006, la Grande-Bretagne nous envoie un nouvel artiste british, du nom de Charlie Winston. Ou disons plutôt qu’une maison de disques de chez nous (à savoir Atmosphériques) a eu la bonne idée de le prendre sous son aile. Mais disons-nous le bien, — et je pense que je vais mettre en colère certains —, jamais Atmosphériques ne l’aurait fait signer chez elle si Winehouse et autre Duffy n’avaient pas cartonné. Parce qu’après tout, Winston est, entre autres, un bon moyen pour les mafieux de la musique de se faire davantage de fric, en sous-estimant ainsi la populace que nous sommes. Cependant, il faut reconnaître que ce jeunot a du talent !
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