Moi qui pensais que Le Remède Mortel avait conclu définitivement l’ère des dystopies adolescentes… Mais les studios hollywoodiens aiment le fric et adapter la littérature jeunesse en long, en large… et en travers surtout ! The Darkest Minds aurait pu déroger à la règle. Les quinze premières minutes du film étaient d’ailleurs très bien ! Mais le fameux cahier des charges en a voulu autrement.