James Gray fait partie de ces cinéastes qui privilégient le fond par rapport à la forme. Du moins, c’est ce que j’avais ressenti en regardant Two Lovers, film sur la lâcheté d’un homme qui était trop rêveur pour la réalité dans laquelle il évoluait (Joaquin Phoenix). Un film que j’avais bien aimé, malgré son message « réducteur ». Dans The Lost City of Z, sorti le 15 mars dernier, James Gray continue d’explorer le thème de l’Homme et ses failles. Et il le fait avec brio.