Après que son père biologique ait tenté de tuer sans succès Stefan et Damon, Elena se sent désormais en sécurité. Mais Katherine fait son retour à Mystic Falls…
Alors que le maire de la ville a péri dans l’incendie on ne sait comment, Caroline est toujours entre la vie et la mort, pendant que ses proches espèrent un miracle…
L’oncle de Tyler arrive en ville, sa présence n’étant pas due au hasard. Surtout que Tyler finit bientôt par lui parler de ses fameuses « sautes d’humeur »…
Le principal danger d’une série est sa deuxième saison. En effet, c’est à ce moment-là que tout se joue. Alors la première saison de Vampire Diaries avait été alourdie par quelques épisodes « vides » (durant lesquels on s’ennuyait beaucoup), la deuxième ne nous laisse aucun répit. Et quelque part, c’est ce qu’on attendait d’elle depuis le début.
Le fait que Vampire Diaries soit une production de la CW est encore étonnant pour moi, dans la mesure où cette série est excellente (sachant que qualité et CW font généralement deux). Kevin Williamson a ainsi fait du très bon boulot avec cette deuxième saison, qui est remplie à ras bords de rebondissements ! Je lui tire mon chapeau, pour avoir eu autant d’imagination et su se réinventer à chaque épisode. Après, ça pourra être problématique pour la saison 3, vu que beaucoup d’idées ont été exploitées, jusque-là. Mais là n’est pas le sujet.
Côté casting, les acteurs ont tous progressé ! Et pour une « simple » série de la CW, c’est très surprenant ! Même les personnages secondaires, qui ne servaient à rien l’an dernier, ont un intérêt ! Et moi qui étais le premier à dire que Nina Dobrev était une mauvaise actrice, tout juste bonne à être une caricature de Kristen Stewart, j’ai changé d’avis en la voyant devenir Katherine. Le personnage est tellement barré qu’on ne peut que féliciter l’actrice d’avoir compris sa personnalité de garce qu’on adore détester. Cela dit, Elena est toujours aussi tête à claques.
Plus qu’une simple série pour ados, Vampire Diaries est devenue une série tout court, avec tout ce qu’il faut pour divertir le public. Les histoires d’amour sont toujours présentes, mais plus en retrait cette fois (les bases étant désormais posées).
Mon avis : mention très bien !