Fin janvier, je vous parlais de The Carrie Diaries, nouvelle série de la chaine CW et prequel du célèbre Sex & The City. Après avoir regardé le dernier épisode en date, j’en profite donc pour faire un bilan général de cette première saison, qui est réussie selon moi.
Je me rappelle encore du pilot, que j’avais trouvé vraiment mauvais, car les situations et personnages clichés s’enchaînaient, au fur et à mesure que les quarante minutes de l’épisode s’écoulaient. Néanmoins, j’ai continué à regarder, car The Carrie Diaries fait partie des rares séries T.V. qui suscitent de l’intérêt chez moi. Bref, j’ai continué et, dès le deuxième épisode, j’ai été emballé, au point de devenir accro à ce nouveau guilty pleasure. Mais qu’est-ce qui fait qu’il doit y avoir une seconde saison ?
Déjà, dans ce prequel, on retrouve tout l’esprit de Sex & The City : la voix-off qui accompagne les différents intrigues (amoureuses, évidemment, sinon ça n’a pas de sens, surtout ici), mais aussi les fameuses « réunions » où Carrie et ses meilleurs amis de l’époque parlent amour, sexe et autres fantasmes adolescents.
Ensuite, Anna Sophia-Robb, dont j’avais déjà fait des éloges en janvier dernier, a tout d’une Carrie Bradshaw : innocente et romantique, comme on l’aimera des années plus tard (ou pas).
Enfin, les personnages entourant l’héroïne sont tous attachants, sauf peut-être celui de Mouse (Ellen Wong), qui a eu tendance à m’exaspérer dans les derniers épisodes. Alors que ceux de Larissa (Freema Agyeman), de Dorrit (Stefania Owen) et de Donna (Chloe Bridges) ont un très bel avenir devant eux.
En conclusion, j’espère vraiment une suite à cette série prometteuse. Même si les audiences n’ont pas été bonnes (la faute à la case horaire du lundi soir, qui a également fait défaut à Gossip Girl). Pour moi, The Carrie Diaries a un énorme potentiel et, si les producteurs persistent, elle pourrait avoir une carrière à la Sex & The City : c’est-à-dire culte.