Bonjour à toutes et à tous ! Aujourd’hui, je vous parle de la saga littéraire qui a rythmé une bonne partie de mon été : Calendar Girl d’Audrey Carlan ! C’est avec un léger pincement au cœur que j’écris ces mots, car je n’arrivais pas à quitter Mia et son entourage. Et lorsque j’ai fini le dernier tome, j’ai malheureusement dû me détacher de cet univers… C’est vous dire à quel point j’ai aimé !
Qu’on se le dise : Calendar Girl n’est pas différente des autres sagas New Adult comme Fifty Shades et After. Tous les clichés sont présents, les sentiments guimauves également. L’un des reproches que je pourrais lui faire est son manque d’humour mordant. Même si certains passages ou certaines répliques m’ont fait bien rire, j’en attendais plus de ce côté-là. Un autre défaut est son manque de développement : chaque tome fait 150 pages. Certes, les livres se lisent rapidement, mais on reste en surface de beaucoup de choses au niveau de l’histoire. Enfin, la surenchère faite dans le tome 9 était de trop pour moi, tandis que les tomes suivants enchaînent les répétitions (ce qui est désagréable à la longue). Cette franchise pourrait donc en freiner beaucoup à cause de ces quelques éléments.
Néanmoins, après le premier volet que j’avais moyennement aimé — je n’étais pas sûr de lire la suite, à ce moment-là —, Audrey Carlan a réussi à m’emporter grâce à aux péripéties de son héroïne. Je me suis d’ailleurs beaucoup reconnu en Mia puisque, comme elle, j’ai voyagé et fait de nouvelles rencontres. Elle nous entraîne ainsi aux quatre coins du pays et nous fait profiter de ses parties de jambes en l’air (dont certaines ne sont pas inintéressantes à lire, même si elles finissent par alourdir le récit), tout en nous faisant part de ses doutes et des enseignements qu’elle tire de ses différents séjours. J’ai d’ailleurs apprécié le couple qu’elle formait avec Wes. Certes, on pense un peu à l’insupportable Christian Grey quand on fait connaissance avec ce personnage, mais ce dernier a finalement tout de « l’homme idéal » à côté de son « jumeau ».
J’ai ainsi aimé ce côté niais et « tout le monde, il est beau, il est gentil ». Je dois dire que cette légèreté assumée m’a fait du bien, en tant que lecteur. Et ça m’a tellement plu que j’ai lu les douze volets à la suite ! C’est donc pour cela que je vous recommande Calendar Girl si vous recherchez une saga littéraire pour vous détendre durant les vacances d’été.
J’ai lu les 6 premiers, et puis j’ai abandonné car je me suis lassée.
C’est effectivement une saga très répétitive dans son dénouement. En temps normal, j’aurais abandonné, mais là ça m’a plu !