Après un deuxième tome que j’avais moyennement aimé, je vous parle de sa suite ! Déjà, j’écris ce billet de manière plus enjouée, car ma lecture a été plus plaisante. En effet, l’histoire est plus plaisante à suivre, et on ne parle plus des problèmes financiers de Becky (ou presque). En revanche, elle continue de se mettre dans la mouise toute seule, et c’est chiant à la longue.
En fait, le problème de cette saga est que son scénario est très répétitif : il arrive un nouveau quiproquo à l’héroïne ; celle-ci n’en parle à personne et se retrouve coincée dans ses propres mensonges ; et quand elle veut arranger les choses, elle ne peut pas car ça la dépasse ; puis vient la solution miracle sans qu’elle s’y attende et tout s’arrange. Vous me direz que c’est une saga de huit bouquins et que c’est dur pour l’auteur de se réinventer. Et je suis d’accord. Mais bon, Becky m’agaçait au bout d’un moment.
D’un autre côté, je la trouve de plus en plus attachante. Elle ne se laisse pas marcher sur les pieds et quand elle a un truc à dire, elle le dit (cf. le passage dans la limousine de sa belle-mère). Elle évolue et gagne en maturité également. Bref, elle a de la personnalité. J’étais également content que sa meilleure amie la remette enfin à sa place, et que Becky en prenne conscience.
En tout cas, je prends plaisir à lire cette saga. On verra bien ce qui se passe dans le quatrième tome !…