[LIVRE] J.R.R. Tolkien, The Hobbit

Ce soir, je vous parle de ma dernière lecture en date, Bilbo le Hobbit de J.R.R. Tolkien. Un livre que j’ai mis du temps à lire. Non pas que je ne l’ai pas aimé, mais on va dire que j’ai surtout adoré la première moitié (qui correspond au premier film, que j’avais également adoré) et moins la seconde. Dans le même temps, je repensais à la trilogie de Peter Jackson. D’ailleurs, j’ai été étonné de voir que les films m’avaient beaucoup marqué, alors que je ne les ai pas revus depuis leur sortie au cinéma.

Pour parler du bouquin, je dois dire que j’ai apprécié la nouvelle traduction française, qui est très fluide selon moi. Pour la petite histoire, je n’ai jamais pu dépasser les 200 premières pages du premier tome du Seigneur des Anneaux. Et je n’ai même pas lu dix pages du Hobbit. Au début, je croyais que c’était vraiment l’univers de Tolkien qui ne me plaisait pas. Sans parler des nombreuses chansons qui m’agaçaient au plus haut point. Tout ça à cause de la première traduction des romans, qui était juste CHIANTE à lire. Là, ma lecture était très agréable et en plus, je m’amusais à chanter dans ma tête les chants des personnages. Je suis même retourné à la librairie pour racheter le premier tome du Seigneur des Anneaux (la deuxième traduction, je précise). Donc, vous aurez droit à un prochain article à ce sujet bientôt !

Sinon, comme je l’ai dit, j’ai vraiment adoré la première partie du roman. J’étais plongé dedans et j’arrivais à imaginer les personnages, ainsi que l’univers dans lequel ils évoluent. Par contre, j’ai moins pris mon pied par la suite, dans le sens où les films sont bien plus enrichis au niveau de l’action. Là, j’ai eu l’impression que les péripéties étaient beaucoup trop condensées et que dans le même temps, il ne se passait pas grand-chose. Par ailleurs, la bataille des cinq armées est brièvement mentionnée durant quelques pages, de même que le passage avec Smaug le dragon. J’ai découvert que Peter Jackson avait aussi fait revenir plusieurs personnages (comme Legolas et Galadriel) pour les besoins de son scénario. Donc, je m’attendais à ce que le livre les mentionne à un moment ou à un autre.

Enfin, je pense que c’était une « erreur » de faire trois films de trois heures chacun pour adapter un livre de 400 pages. Il aurait mieux valu en faire deux (c’était même ce qui était prévu, à la base). Comme quoi, les adaptations de Peter Jackson ont leurs limites et ça se sent davantage en lisant le roman.

En résumé, c’était une lecture agréable, mais pas aussi marquante que je l’aurais pensée. Ça détend bien et on arrive à s’évader, cependant.

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