[LIVRE] E.L. James, Fifty Shades of Grey (2e avis)

Bonjour tout le monde ! J’espère que vous allez bien et que vous commencez bien le mois d’octobre. Aujourd’hui, je reviens sur le roman Fifty Shades of Grey d’E.L. James. Après la saga cinématographique à laquelle j’avais dédié un nouvel article, j’ai envie de vous donner mon 2e avis sur le livre.

Note de l’auteur : rendez-vous ici pour lire mon 1er avis sur le premier tome.

À l’époque, j’avais adoré Cinquante Nuances de Grey. Il faut dire que tout le monde en parlait et que c’était LA nouveauté littéraire du moment : une romance piquante, estampillée « BDSM » (qui est quasi inexistant), entre une étudiante et un milliardaire. Et j’avoue que comme le personnage d’Anastasia, j’étais tombé sous le charme du mystérieux et ténébreux Christian. Quant aux fameux passages coquins, je les avais adorés pour la plupart. L’effet nouveauté, encore une fois.

Et maintenant ? Si j’ai apprécié ma lecture dans l’ensemble, l’effet surprise est passé. Et surtout, je me suis rendu compte à quel point, dès le départ, le roman d’E.L. James est misogyne. Je sais que je l’ai déjà dit à maintes reprises par le passé (cf. ma première critique très cinglante du film Fifty Shades Darker), mais je le redis aujourd’hui. Je ne m’éterniserai pas sur ce point. Cependant, je ne pouvais pas m’empêcher de penser que cette romance n’était pas si romantique que ça en fin de compte.

Maintenant, dès que je refermai mon bouquin, j’avais hâte de le rouvrir pour lire la suite des péripéties d’Anastasia et Christian. La première est toujours aussi niaise et cruche (avec le recul, je l’aime un peu pour ça). Elle est quand même suffisamment intelligente pour se poser les bonnes questions concernant sa relation avec le second (et heureusement !). Or, elle n’a pas autant de répondant que dans le film et c’est bien dommage. Christian, lui, se révèle être d’emblée agaçant en maniaque du contrôle. Néanmoins, comme durant ma première lecture (et comme lors de mes lectures de Darker et de Freed), j’ai aimé repartir à la découverte de ce personnage.

Enfin, les fameux passages piquants ne m’ont fait ni chaud ni froid (à part deux ou trois). Et vu qu’il y en a beaucoup, on va dire que ça me passait au-dessus (sans mauvais jeu de mots). Cependant, en les relisant, j’avais les images du film en tête, ce qui a rendu ma lecture plus agréable. Par ailleurs, de manière générale, cette redécouverte du roman m’a rafraîchi la mémoire. Je me suis ainsi rendu compte du grand nombre de différences qu’il y avait entre celui-ci et son adaptation sur grand écran. Et que les deux supports se complétaient finalement plutôt bien.

Une bonne seconde lecture avec ses défauts, en somme.

Et vous, que pensez-vous du roman Cinquante Nuances de Grey d’E.L. James ? N’hésitez pas à me donner votre avis en commentaire pour qu’on en discute !

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