[JEUX VIDÉO] Mario Kart — Retour sur une saga vidéoludique incontournable !

Bonjour tout le monde ! J’espère que vous allez bien et que vous passez un bon mois de juillet. Aujourd’hui, je délaisse le cinéma et la musique pour revenir à un autre sujet que j’adore : les jeux vidéo ! Et quoi de mieux que de vous parler de Super Mario, notamment de la saga Mario Kart ? En effet, je me suis dit que ce serait sympa de revenir sur tous les épisodes de la franchise, afin de vous donner mon avis. Donc, sans plus attendre, place à ma rétrospective spéciale Mario Kart !

Note de l’auteur : je ne parlerai pas des épisodes sur arcade, parce que je n’y ai joué qu’une ou deux fois et que ça n’aurait pas d’intérêt pour moi de vous donner mon avis. Je ne parlerai pas non plus de Mario Kart 8 Deluxe, car je n’ai pas (encore) la Nintendo Switch.

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Super Mario Kart (SNES)

On démarre par le premier volet, celui par lequel tout a commencé. Si à l’époque, on avait la Super Nintendo, on n’a jamais acheté ni joué à Super Mario Kart. Pour ma part, j’y ai joué bien plus tard, d’abord via émulateur — je vous le dis : avec le clavier, c’est mission impossible, tellement le gameplay est assez technique —, ensuite via la console virtuelle (sur Wii et 3DS). C’est l’un des jeux Mario Kart que j’aime le moins, aussi, car je n’ai pas l’effort de m’y plonger suffisamment pour bien le maîtriser. De plus, même si à l’époque (en 1992, donc), c’était l’avènement de la 16bit, je trouve les décors assez pauvres. En comparaison, Street Racer (qu’on avait à la maison) est riche à ce niveau-là. Par contre, je reconnais que c’est une révolution visuelle, notamment grâce à son utilisation du Mode 7 — c’est la même dans Street Racer et F-Zero, d’ailleurs. Ce premier jeu ne m’a donc pas plus marqué que ça.

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Mario Kart 64 (Nintendo 64)

On enchaîne avec celui qui reste mon volet favori à ce jour (avec ceux sur DS et 3DS) : Mario Kart 64. Certes, ce n’est pas le plus difficile et les graphismes font peine à voir aujourd’hui. Pourtant, quand il est sorti (en 1996), pour moi et mon frère, c’était une véritable révolution visuelle ! Mario en 3D, on ne l’aurait jamais cru 20 ans en arrière ! Quand j’y joue, je m’éclate toujours comme la première fois où j’ai pris ma manette de Nintendo 64 pour manier les différents personnages (surtout Peach et Toad) sur les 16 circuits — qui se souvient de l’infâme Autoroute Toad en mode miroir ? De plus, je garde de très bons souvenirs des parties à 3 ou 4 joueurs en modes versus et bataille. Et j’aime tellement Mario Kart 64 que je l’ai acheté sur Wii ET sur Wii U. Pour moi, c’est un incontournable !

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Mario Kart : Super Circuit (Game Boy Advance)

Le troisième jeu Mario Kart, Super Circuit, est le premier à sortir sur console portable (là encore, je n’y croyais pas à l’époque). De plus, c’est le premier à incorporer le mode versus en solo, ainsi que les circuits rétros (ici, ceux de Super Mario Kart sur Super Nintendo, retravaillés pour l’occasion et personnellement, je trouve les graphismes toujours aussi bluffants). En outre, Super Circuit utilise le Mode 7 et reprend le character design des personnages de la Nintendo 64. Ça donne ainsi un volet très sympathique, qui ose notamment plus de choses au niveau des décors, tout en gardant la technicité de Super Mario Kart (en étant plus accessible, selon moi). Un épisode de bonne facture, surtout sur console portable.

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Mario Kart Double Dash (Game Cube)

J’ai vraiment eu du mal à aimer ce quatrième jeu Mario Kart. Notamment, parce qu’à l’époque, j’ai galéré à le terminer à 100 % ! Je suis d’ailleurs encore traumatisé par la coupe Grand Chelem (une première dans la saga, et la dernière d’ailleurs). Je ne suis pas non plus fan de la bande originale (contrairement à celle de Mario Kart 64, que j’adore). Maintenant, j’aime bien y jouer de temps en temps. Avec un pote, on a d’ailleurs fait quelques parties en réseau et ça m’a fait voir le jeu d’un nouvel œil. Et c’est vrai que le concept des deux pilotes sur un kart est bien trouvé et permet des associations de folie (tout en étant stratégiques). Néanmoins, pas de mode versus en solo (donc impossibilité de choisir la ou les courses auxquelles on veut jouer) ni de courses rétros. Double Dash est donc, d’après moi, un volet mineur dans la franchise, non dénué d’intérêt pour autant.

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Mario Kart DS (Nintendo DS)

En 2006, la Nintendo DS permet de réconcilier le grand public avec Nintendo (qui ramait un peu depuis la Nintendo 64). En effet, Big N a fait un retour en force avec un concept totalement innovant : une console portable à double écran, dont celui du bas qui est tactile. Un concept qu’utilise bien Mario Kart DS, en plus d’être le premier Mario Kart sur console portable en 3D. À ce propos, les graphismes sont plutôt réussis, même si la 3DS fera beaucoup mieux par la suite. Le jeu en lui-même est vraiment fun, les parties à un joueur se suffisant enfin à elles-mêmes ! Plus besoin des potes, donc, pour jouer en mode versus ou en mode bataille (qui est le plus réussi de la saga, selon moi). En outre, les courses rétros sont de retour et, cette fois, le jeu pioche parmi tous les volets précédents pour nous proposer des circuits revisités pour notre plus grand plaisir. Enfin, ajoutons à ça le mode défi, qui consiste en différents petits niveaux à compléter (de quoi allonger la durée de vie du jeu). Mario Kart DS est donc facilement dans mon top 3 de la saga Mario Kart.

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Mario Kart Wii (Wii)

Deux ans après la Nintendo DS sort la Wii, qui va remettre Big N sur les rails, bien loin devant ses concurrents Sony et Microsoft. Avec une autre innovation : le capteur de mouvement (qui, avouons-le, ne fonctionne pas toujours très bien). Quoi de plus logique, donc, de sortir un nouveau Mario Kart sur console de salon ? Ce sixième volet revient ainsi aux fondamentaux, à savoir un pilote derrière le volant, avec les nouveautés introduites dans Mario Kart DS : divers modes en solo (ou à plusieurs), les courses et batailles (nouvelles et rétros) en équipe, etc. Sans oublier les figures en l’air, lorsque le véhicule du personnage saute, qui est l’apport majeur au gameplay de Mario Kart Wii. Et, surtout, les parties en ligne (Nintendo s’y était déjà essayé sur la DS, mais pour ma part, je n’ai jamais su comment ça fonctionnait). Cette fois, on peut jouer avec n’importe quel joueur dans le monde, même si les parties en local restent sympas de temps en temps. Un jeu Mario Kart très complet, donc.

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Mario Kart 7 (3DS)

C’est à ce jour, le dernier volet de Mario Kart sur console portable (si on exclut Mario Kart 8 Deluxe sur la Switch Lite). Et bon sang, mesdames et messieurs, quel volet ! Encore une fois, la saga repousse les limites de son gameplay en introduisant les courses dans l’eau et dans l’air (avec les ailes). Personnellement, j’adore tout autant Mario Kart 7 que Mario Kart 64 et Mario Kart DS, car il me permet de m’amuser tout seul sans avoir besoin de trouver quelqu’un avec qui faire une ou plusieurs parties. Le mode en ligne est d’ailleurs bien plus simple d’accès. À noter que les pièces, qui avaient disparu depuis Super Mario Kart et Super Circuit, sont de retour et apportent un défi supplémentaire pour le joueur. Enfin, les graphismes sont vraiment soignés et l’utilisation de la 3D (la grosse nouveauté de la 3DS, même si Nintendo finira par la délaisser au fil du temps) est bien pensée. Un autre Mario Kart dans mon top 3 de la saga, en somme.

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Mario Kart 8 (Wii U)

Malheureusement passé inaperçu lors de sa première sortie sur la Wii U (il faut dire que Nintendo avait très mal vendu la console), Mario Kart 8 est pourtant une pépite. Déjà, Big N se met enfin à jour au niveau des graphismes pour talonner ses concurrents, même si, encore une fois, ce n’est pas avec ça qu’ils comptent faire la différence. En effet, Mario Kart 8 introduit une grosse nouveauté dans ses courses : la gravité. Eh oui, maintenant, les pilotes roulent la tête en bas ! Du moins, à l’écran, on ne s’en rend pas vraiment compte, même si ça se voit au niveau des roues et des décors. Et franchement, ça rend l’expérience du joueur encore plus géniale qu’elle ne l’était déjà dans les jeux précédents. Ma seule déception réside dans le mode bataille : les développeurs se sont contentés de prendre certains circuits du mode course, et basta ! Une erreur que la version Switch réparera, cependant. Bref, ce Mario Kart 8 est un très bon cru.

Lire mon avis sur Mario Kart 8 ici.

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Mario Kart Tour (iOS/Android)

On termine par le premier jeu mobile (et sans doute le dernier ?) Mario Kart. Là encore, à sa sortie, je n’y croyais pas du tout ! Pouvoir jouer à Mario Kart sur mon téléphone, le rêve ! Un volet à la hauteur de cet événement ? Dans l’ensemble, oui. Ici, le jeu est réinventé, notamment grâce aux pièces, aux rubis et aux étoiles à remporter, qui nous permettent de débloquer des pilotes, véhicules et ailes. Côté courses, l’application pioche dans toute la saga, en nous proposant notamment des versions remixées, en sens inversé, etc. Néanmoins, les développeurs ont tendance à recycler les mêmes anciens circuits, alors qu’il y a de quoi faire. On a également droit à de nouvelles pistes, aussi bien estampillées « Super Mario » qu’inspirées des grandes capitales (Paris, Rome, Madrid, Berlin…). Un jeu qui fait bien passer le temps, mais dont on peut rapidement se lasser.

Lire mon avis sur Mario Kart Tour ici.

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Et voilà ! Cette rétrospective spéciale Mario Kart est terminée. Et vous, quel est votre jeu favori de la saga ? Et celui que vous aimez le moins ? N’hésitez pas à me le dire en me laissant un commentaire !

Sur ce, je vous dis à bientôt pour un nouvel article sur le blog !

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