En cette rentrée, j’hésitais entre plusieurs jeux : Capitaine Toad, Yoshi’s Woolly World et Super Mario Maker. J’ai finalement opté pour l’édition Deluxe de ce dernier, qui comprend le jeu, le livret et l’amiibo spécial « 30th anniversary ».
Depuis, j’ai eu le temps de tester les différentes fonctionnalités du jeu, de la création de niveau (son concept même) aux défis/challenges proposés, en passant par les centaines de niveaux designés par les joueurs. Un beau programme, donc ! Après, je n’ai pas encore tout débloqué, au niveau de la création de stage (à l’heure où je vous parle, je devrai bientôt avoir le mode Super Mario Bros. 3, ainsi que le fond « manoir »).
C’est d’ailleurs le principal point négatif que je trouve à ce nouvel opus de Super Mario : le fait qu’il faille attendre pour tout débloquer. D’accord, ça « force » le joueur à passer des heures devant sa TV pour faire appel à son imagination, afin de créer ses propres niveaux (et plus on en crée, plus on débloque de nouveaux accessoires pour « customiser » ses stages). Donc ça se comprend. Autre inconvénient : le gameplay laisse à désirer sur le mode New Super Mario Bros. U.
Mis à part ça, Super Mario Maker s’avère être très addictif, puisque la durée de jeu est infinie, avec tous les stages qui sont publiés chaque jour ! On en a ainsi pour tous les goûts, du plus facile au plus difficile, en passant par les niveaux « automatiques » (où la manette s’avère être inutile).
Quant à la création de niveau en elle-même, si elle peut être limitée par rapport à ce que j’ai dit plus haut, elle est finalement très intuitive et facile d’utilisation (malgré les petites astuces cachées, qui permettent d’avoir accès à des objets/ennemis en plus). Après, il faut parfois se triturer les méninges (et avoir des idées, surtout), mais on y prend plaisir et quand on a fini, on recommence !
Pour résumer, la firme Nintendo a su lancer un nouveau type de jeu, avec Super Mario Maker, et on espère que les prochains versions/mises à jour donneront accès à beaucoup plus de fonctionnalités ! Mais j’ai confiance en Big N !