[CINÉMA] Instacinés – Septembre 2024

Bonjour à toutes et à tous ! Voici mes mini critiques des films que j’ai vus au mois de septembre 2024 et que j’ai également publiées sur Instagram.

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Le Comte de Monte-Cristo : 7,5/10

Même si j’ai raté les dix premières minutes du film, je suis d’emblée rentré dans l’histoire et je n’ai pas vu les trois heures passer. Le scénario, bien que pourvu de quelques facilités grossières, est rythmé du début à la fin. Tout le casting est parfait, Pierre Niney en tête. Le long-métrage d’Alexandre de la Patellière et de Mathieu Delaporte est également très beau au niveau des décors et des costumes. Bref, il mérite son immense succès critique et public.

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Le Procès du chien : 5,5/10

Si l’intention de Laetitia Dosch est louable, son premier film en tant que réalisatrice souffre du même défaut que « Elle & Lui et le reste du monde » d’Emmanuelle Belohradsky : la base est prometteuse, tout se passe bien, puis arrive l’élément qui va tout foutre en l’air (ou presque). Si l’intrigue du chien et tout ce qui en découle ont de l’intérêt, le reste est trop poussif au point de frôler l’indigestion politique. Puis, plus c’est gros, plus ça passe visiblement. « Le Procès du chien » m’a ainsi agacé au plus haut point, tout en m’arrachant quelques rires malgré tout.

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Alien : Romulus : 7,5/10

Ce nouveau volet de la saga « Alien », signé Fede Álvarez, est une très bonne surprise. Et même si on ne connaît pas trop la franchise (c’est mon cas), je pense qu’on peut aimer celui-là. En effet, j’ai trouvé le scénario bien construit, même si prévisible dans l’ensemble. La mise en scène est également bien maîtrisée et la tension est à son comble. Les effets spéciaux sont également bluffants, rendant les séquences dans l’espace et à bord du vaisseau vraiment réalistes. Les personnages auraient pu être mieux travaillés, bien que je me sois attaché à Rain et Andy (Bjorn, par contre, j’avais juste envie qu’il crève). « Alien : Romulus » est donc un excellent huis clos qui ne nous laisse pas indemnes.

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Garfield : Héros malgré lui : 6,5/10

Là aussi, j’ai été agréablement surpris par ce film d’animation sur le célèbre chat roux tigré gourmand. Si l’ensemble est résolument enfantin, il y a suffisamment d’action pour qu’on se laisse prendre au jeu. D’un côté, on en apprend plus sur Garfield et ses origines. De l’autre, le long-métrage de Mark Dindal nous propose un joli message sur l’exploitation animale (même s’il est balayé à la fin, ce qui est bien dommage). Personnellement, j’ai passé un bon moment.

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Beetlejuice Beetlejuice : 6,5/10

Je n’ai pas vu le premier, mais ce n’est pas forcément nécessaire pour regarder celui-là. Néanmoins, j’ai l’impression que cette suite a vu le jour, car il en fallait une. Et malgré le scénario décousu et fourre-tout, ça se regarde. Les acteurs jouent bien (hormis Winona Ryder, que j’ai trouvée en deçà des autres). Et les décors et les effets spéciaux « désuets » ont leur charme. Ce n’est donc pas du grand Tim Burton, même si on retrouve sa patte.

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