C’est l’un des films d’animation que j’attendais le plus de voir ces derniers mois ! Et après être sorti de la salle, j’étais ravi de voir que l’esprit du premier volet de Tempête de Boulettes Géantes avait été conservé dans celui-ci.
Le deuxième film reprend ainsi exactement là où le précédent s’était arrêté, c’est-à-dire après que la machine ait été détruite. On retrouve ainsi les personnages auxquels on s’était attaché, il y a quatre ans. On est donc toujours pris de compassion pour Flint Lockwood, aka le loseur qui nous ressemble tant. C’est un héros qui a ses qualités et ses défauts, peut-être l’un des héros de dessins-animés les plus attachants de ces dernières années. J’aime beaucoup également sa copine Sam Sparks, aka la voix de la sagesse du personnage principal. Ainsi que la petite bande qui les accompagne (surtout le flic noir, qui me fait toujours autant mourir de rire).
Bon, évidemment, étant un film pour enfants, L’Île des Miam-nimaux fait beaucoup dans la niaiserie, mais même les adultes y trouveront leur compte. L’humour est, encore une fois, omniprésent. Comme pour le premier film, c’est très enfantin et, en même temps, très efficace (un peu comme L’Âge de Glace). À chaque gag, on rigole (même si, pour ça, il faut attendre que les personnages reviennent sur l’île). Le méchant est vraiment méchant, on a envie de lui donner des claques dès l’instant où il apparaît, bien qu’on aime le détester en même temps. À côté, Barb, son singe acolyte, est attachante, de même que la petite Fraisie. Enfin, il faut noter que les voix ne sont pas les mêmes que celles du premier volet. C’est déroutant au début, il faut l’avouer, mais on s’y habitue.
Donc, pour conclure, ce deuxième film est un tout petit peu moins bien que le premier, mais il reste un vrai régal pour toute la famille.
P.S. : Restez pendant le générique, une surprise vous y attend ! 😉