Il me tardait de voir Emilia Pérez de Jacques Audiard. Déjà, pour son casting, Selena Gomez en tête — j’adore cette chanteuse/actrice. Ensuite, parce que ledit casting a été récompensé du prix d’interprétation féminine au dernier Festival de Cannes. Bref, dès sa sortie dans les salles françaises, j’ai immédiatement acheté mon ticket de cinéma. Ai-je été bouleversé à ce point pour ce long-métrage ? Non. L’ai-je apprécié ? Oui.
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La bande-annonce intrigante, en plus de me rappeler l’excellent Le Menu de Mark Mylod, me donnait très envie d’aller voir Blink Twice de Zoë Kravitz. Il faut dire que le second ressemble un peu au premier pour le côté « île mystérieuse ». Je rajoute aussi Don’t Worry Darling pour le message féministe final. Maintenant, Blink Twice est-il aussi excellent et pertinent que ces deux derniers ? Pas vraiment.
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Deux mois plus tard — le 6 septembre, très exactement —, j’ai enfin vu Le Comte de Monte-Cristo réalisé par le tandem Alexandre de La Patellière/Matthieu Delaporte. J’avais entendu tellement de bien sur ce long-métrage, notamment sur le fait que, malgré sa durée de 3 h, on ne voie pas du tout le temps passer. En plus que ce soit une très bonne adaptation du roman d’Alexandre Dumas (que je n’ai pas lu, même si regarder le film m’en a donné envie). Néanmoins, j’ai raté les dix premières minutes, ce qui aurait pu m’empêcher d’apprécier pleinement le film. Malgré ça, je suis rentré immédiatement dans l’histoire.
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Le dernier film de M. Night Shyamalan promettait du lourd avec son concept : la traque d’un tueur en série pendant un concert. La bande-annonce vendait d’ailleurs très bien le concept — en même temps, c’est l’objectif. Je partais donc hyper confiant. Résultat des courses : Trap tient ses promesses durant sa première partie, puis s’essouffle progressivement durant sa seconde.
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Quand j’ai vu la moyenne catastrophique de critiques positives sur Rotten Tomatoes, je m’attendais à une véritable purge. Et après avoir vu le film d’Eli Roth, j’ai appris que la postproduction avait été chaotique (au point même que l’un des scénaristes avait demandé le retrait de son nom du projet). Et il est vrai qu’en regardant Borderlands, on sent de suite le produit hollywoodien préfabriqué pour plaire au plus grand nombre. Pourtant, à l’instar de Madame Web, j’ai apprécié mon visionnage.
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Six ans (déjà !) après le deuxième volet, le superhéros le plus irrévérencieux du grand écran fait enfin son entrée dans le MCU. Et quelle entrée, les amis ! Là où on pourrait croire que Disney a beaucoup trop lissé ce personnage et son univers barré, il n’en est heureusement rien. Au contraire, le studio aux grandes oreilles prend bien cher de la part de Ryan Reynolds. Preuve que ce dernier et Shawn Levy (le réalisateur du film) ont eu carte blanche.
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Comme pour Vice Versa 2, je n’attendais pas grand-chose de Moi, Moche et Méchant 4. En effet, le troisième film de la saga m’avait déçu par rapport au deuxième (qui reste mon préféré). Et même si j’étais ravi de retrouver, Gru, sa famille et (surtout) les Minions, je craignais encore un scénario trop léger et enfantin. Cependant, ce quatrième film m’a agréablement surpris.
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C’est le film que j’attendais le plus en cette année 2024. Il faut dire aussi que la bande-annonce me donnait clairement envie de voir MaXXXine. Je l’ai d’ailleurs regardé en boucle jusqu’à la sortie du long-métrage, le 31 juillet dernier. En outre, ça m’a permis de regarder (enfin) les deux premiers volets de la trilogie X : X et Pearl. Car oui, MaXXXine est le troisième chapitre d’une saga réalisée par Ti West et avec Mia Goth dans le rôle-titre. Paraît-il même qu’un quatrième volet serait en préparation ? En attendant, que vaut MaXXXine ?
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Neuf ans après le premier, voici Vice-Versa 2. La jeune Riley a désormais 13 ans, donc l’âge de la puberté et de l’adolescence. Joie, Tristesse, Colère, Dégoût et Peur ne sont désormais plus seuls, puisqu’ils sont rejoints par Anxiété, Envie, Embarras et Ennui. En d’autres mots, ce second volet reprend le même scénario que son prédécesseur : ce n’est plus Joie qui monopolise l’esprit de Riley, mais Anxiété. Pas vraiment de surprises, donc.
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Twisters de Lee Isaac Chung faisait partie de ma watch list sur grand écran du mois de juillet. Les teasers et la bande-annonce laissaient d’ailleurs présager des effets spéciaux spectaculaires. Sur ce point, ce film tient ses promesses, notamment avec un acte final à couper le souffle (j’y reviens plus bas). En revanche, le scénario est très simpliste.
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