Avant de vous parler de Juste la Fin du Monde, il faut que je vous dise un truc : je n’aime pas du tout Xavier Dolan en tant que personne. Je le trouve prétentieux et ses discours de vainqueur à Cannes étaient, pour moi, faussement larmoyants et pleins d’arrogance. Je partais donc avec un apriori en allant voir Juste la Fin du Monde. Qui est, je le précise, mon premier film du jeune réalisateur québécois. Eh bien, en dépit de mon aversion pour le personnage, j’ai été transporté par son œuvre.
Archives de catégorie : Cinéma
[CINÉMA] Life Partners
J’avais entendu parler de ce film, lors de sa sortie Outre-Atlantique. Mais il a fallu bien attendre deux ans pour le voir en France… Allez comprendre ! J’en ai donc profité pour le regarder et aussi revoir Leighton Meester à l’œuvre, depuis son rôle dans Gossip Girl. Si cette dernière et le reste du casting sont convaincants, Life Partners en lui-même laisse indifférent.
[CINÉMA] The Shallows
The Shallows est une grosse semi-déception pour moi. J’attendais énormément de ce thriller estival, surtout avec Blake Lively en tête d’affiche et Jaume Collet-Serra derrière la caméra. Ce dernier est quand même l’auteur des très bons Esther et Non-Stop, donc ce n’est pas rien ! Et là, on a l’impression d’avoir été trompé sur la marchandise, la bande-annonce laissant présager un film nerveux plein d’action. Au final, c’est un film axé sur l’être humain et ses failles, ce qui rend ainsi le scénario monotone.
[CINÉMA] Neighbors 2 – Sorority Rising
J’avais été agréablement surpris par le premier Neighbors, sorti il y a deux ans. Pourtant, ce n’est pas un genre cinématographique que j’affectionne, mais je trouvais qu’il y avait un juste milieu entre le soft et le trash. Et puis, les gags vus dans la bande-annonce faisaient une nouvelle fois leur effet dans le film. Sans être le divertissement de l’année 2014, Nos Pires Voisins était drôle et m’avait permis de découvrir Zac Efron dans un nouveau registre.
[CINÉMA] Le Fils de Jean
Deuxième film que j’ai été voir en cette rentrée scolaire 2016 : Le Fils de Jean, réalisé par Philippe Lioret. Familiarisé avec son cinéma mélancolique – mais fort – via Je vais bien, ne t’en fais pas et Welcome, j’avais envie de savoir de quelle manière il allait raconter la « misère » humaine cette fois. Son nouveau récit m’a séduit, malgré de légères faiblesses.
[CINÉMA] Hell or High Water
La rentrée scolaire commence très bien sur grand écran, avec l’excellent Comancheria (Hell or High Water en VO). Un thriller/western moderne surprenant, où Chris Pine et Ben Foster affrontent (sans le savoir) Jeff Bridges et Gil Birmingham dans une course contre la montre, où les seconds pistent les premiers, les quatre dans le flou le plus total. Un film trépidant, qui se passe aisément de l’action bourrine propre au genre.
[COURT-MÉTRAGE] Behind the Film (Nathan Cahen)
Aujourd’hui, je vous propose une critique « spéciale », puisqu’elle s’inscrit dans le cadre d’un partenariat avec le jeune réalisateur Nathan Cahen. En pleine promotion de son court-métrage Behind the Film, j’ai accepté de l’épauler car, pour moi, il y a des choses intéressantes à dire à propos de son œuvre. Il y a aussi des éléments qui m’ont moins séduit, mais j’y reviendrai plus tard.
[CINÉMA] Eddie the Eagle
Après l’excellent Joy, vu en janvier dernier, voici Eddie the Eagle, autre film/biopic sur le thème de la réussite. Une réussite qui s’avère être difficile d’accès, dans les deux cas. Mais qui donne plein d’espoir aux plus pessimistes d’entre nous. Car, comme son homologue féminin, Michael Edwards enchaîne les échecs mais se relève toujours, pour mieux triompher de ceux qui doutent de lui.
[CINÉMA] Nerve
Je vous avais récemment dit qu’In The Deep était l’un de mes gros coups de cœur de l’année 2016. Eh bien, j’en ai un autre : Nerve, thriller science-fictionnel adolescent, qui met en scène Emma Roberts et Dave Franco dans les rôles principaux. Une réussite, si vous voulez mon avis.
[CINÉMA] Five
Voici Five, une comédie qui me semblait être alléchante, le succès ayant été au rendez-vous dans les salles. C’était aussi l’occasion pour moi de revoir le talentueux Pierre Niney à l’œuvre, après les très bons 20 ans d’écart et Yves Saint-Laurent. Et pour vous donner une première impression « résumée », c’est un film divertissant en soi, mais qui en fait trop et part dans tous les sens.