Le générique de début et les dix premières minutes sont très bien. Mais après, ça tourne en rond. C’est une comédie sur le chômage qui se moque de (ces incapables de) Pôle Emploi (le passage où les trois personnages principaux tentent de se faire recruter m’a bien fait rire). C’est aussi une comédie sur les galères de trois personnes. Il se passe des choses, mais en même temps, on n’avance pas.
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Après le premier volet qui m’avait refroidi au premier visionnage (mais que j’ai su apprécier avec le temps), je suis allé voir La Reine des Neiges 2 avec beaucoup d’attentes. Des attentes pas trop élevées, cependant. Au final, ce deuxième film a les mêmes défauts que son prédécesseur (notamment au niveau des chansons), mais il fait évoluer ses deux héroïnes dans le bon sens du terme. Il nous affuble également des deux acolytes toujours aussi lourdingues que sont Kristoff et Olaf.
Cela faisait un bon moment que je voulais voir cette comédie (depuis sa sortie, en fait). J’avais d’ailleurs besoin de me vider la tête hier soir. Comme ce film ne durait pas longtemps, c’était parfait pour moi !
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Je pense que l’on tient là l’un des meilleurs films d’animation de 2019, toutes nationalités confondues (LE meilleur ?). La bande-annonce m’avait déjà beaucoup intrigué, quand je l’avais vue au cinéma. Le début du film m’intriguait tout autant, en m’emmenant vers des sentiers inconnus pour moi. En d’autres mots, je ne suis pas très habitué à ce genre de film d’animation, pour être honnête. Mais je crois en être devenu un nouvel adepte.
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Ce midi, j’ai regardé le moyen-métrage La Reine des Neiges : Joyeuses Fêtes avec Olaf avec ma nièce (après avoir regardé la fin du premier film avec elle). On a également revu Une Fête Givrée. Je n’avais jamais vu Olaf’s Frozen Adventure, donc ça a été l’occasion de le découvrir.
L’autre jour, je me faisais la réflexion comme quoi j’avais vu beaucoup de bons films, voire de très bons films, cette année. Et que ça me « manquait » (tout est relatif) de ne pas aller voir des navets. Soit je choisis mieux les films que je regarde, soit je suis devenu meilleur public qu’à l’accoutumée. Le fait est que je me suis bien emmerdé devant Last Christmas de Paul Feig. Pourtant, ayant adoré L’Ombre d’Emily du même réalisateur, je partais confiant avec ce nouveau film.
Au rayon des biopics américains niais pour les américains seulement, je vous présente La Voix du Pardon (I Can Only Imagine). C’est pourtant un film que j’aurais voulu aimer, mais qui ne m’a finalement pas touché, en dépit de la thématique du pardon. Ce n’est qu’un long-métrage conventionnel sur la naissance d’un groupe et d’une chanson phare, avec tous les gros clichés scénaristiques qu’on voit dans les autres films du genre (cf. le groupe qui galère inévitablement avant de connaître enfin le succès).
Aujourd’hui, on plonge sous l’océan pour rencontrer nos amis les créatures sous-marines. Disneynature nous invite ainsi à faire ce merveilleux voyage avec leur nouveau documentaire Blue. Blue, c’est le jeune dauphin qu’on va suivre durant son initiation. C’est aussi un beau titre de film qui rend hommage au monde de la mer.
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Ce film est sorti en début d’année et est passé inaperçu. Et il n’est pas resté longtemps à l’affiche. J’avais très envie de le voir depuis le temps, puisque je m’intéresse à la carrière d’Olivier Assayas depuis Clouds of Sils Maria. Comme c’est un réalisateur qui divise beaucoup les spectateurs, c’est parfait pour moi en somme.
Je continue avec la thématique de Noël en vous parlant de L’Étoile de Noël (ou The Star en VO), un joli film d’animation qui initie les tout-petits et les pré-ados à la naissance de Jésus. Ou plutôt : qu’est-ce qui s’est passé avant sa naissance ? Bon, ça va de soi que le film est très inspiré de cette histoire. Mais je trouve que le réalisateur a vraiment su la raconter autrement que telle qu’on la connaît.