James Gray qui se la joue à la fois Terrence Malick, Denis Villeneuve et Christopher Nolan, ça aurait pu être bien. Finalement, ce n’est que de la branlette intellectuelle sur grand écran, que son auteur étire inutilement sur deux heures. Avec un héros solitaire qui ne veut plus être solitaire, et des petits rôles insignifiants qui gravitent autour de lui. Le tout couvert par une esthétique visuelle et sonore impeccable.
Archives de catégorie : 2010’s
[CINÉMA] Wounds
Je ne sais pas vraiment ce que je viens de regarder… Le film partait bien, mais il ne démarrait pas. Et à la fin, j’attendais encore qu’il se passe quelque chose. J’ai même été lire un article pour comprendre l’histoire, mais l’explication du réalisateur me semblait foireuse. Bref, ce soir, je vous parle de Wounds de Babak Anvari, un film d’épouvante qui n’a ni queue ni tête.
Continuer la lecture[CINÉMA] La Famosa Invasione Degli Orsi In Sicilia
Me voici de retour pour vous parler du merveilleux film d’animation qu’est La Fameuse Invasion des Ours en Sicile ! Avant de poursuivre ma critique, je vous encourage vraiment à aller voir ce petit bijou. Je n’irai pas jusqu’à dire que c’est mon gros coup de cœur de ce troisième trimestre, mais en ce qui me concerne, c’est l’un des longs-métrages les plus surprenants de ces derniers mois.
[CINÉMA] A Rainy Day in New York
Après Wonder Wheel et sa fête foraine haute en couleur (dans tous les sens du terme), Woody Allen nous raconte une énième histoire sous fond new-yorkais. Ça peut en agacer beaucoup comme ça ne lasse pas ses plus fervents admirateurs. Comme moi. Certes, Un Jour de pluie à New York n’est pas son film le plus mémorable (ni le meilleur), mais il a un côté « feel-good » qui m’a bien plu. En d’autres mots, c’est l’un de mes coups de cœur de cette année 2019.
[CINÉMA] Once Upon a Time… in Hollywood
Après la semi-déception qu’était The Hateful Eight (me concernant), j’ai trouvé étrange ce neuvième film de Quentin Tarantino dans sa construction scénaristique, mais appréciable dans l’ensemble. Les (« interminables ») scènes à rallonge sont toujours là, mais elles ne ralentissent jamais l’histoire. Certains passages pourraient paraître hors propos si, comme moi, vous n’êtes pas bien renseignés sur le meurtre de Sharon Tate. En d’autres mots, dans Once Upon a Time… in Hollywood, Quentin Tarantino fait une déclaration d’Amour très personnelle au Septième Art.
[CINÉMA] Ready or Not
Après la nuit annuelle où tous les coups mortels étaient permis (cf. The Purge 3), voici la partie de cache-cache sanglante dans une immense baraque de luxe ! Tyler Gillett et Matt Bettinelli-Olpin ont eu ainsi l’idée de mettre en scène une jeune mariée, qui est la cible mortelle de sa belle-famille, dans Wedding Nightmare (Ready or Not en VO). Un concept qui tient la route, si on ne tient pas compte du délire « rituel sataniste » et de la dernière demi-heure abracadabresque.
[CINÉMA] Second Act
Deux articles en un jour, c’est rare ! Je viens ainsi vous donner mon avis express sur Seconde Chance, le dernier film en date avec Jennifer Lopez. Si je m’attendais à une série B sans intérêt, j’ai été pourtant surpris d’adorer ce film prévisible mais émouvant de A à Z. Et drôle en plus !
[CINÉMA] Yesterday
Ce film était dans ma liste depuis un bon moment, car imaginer un monde qui n’a jamais connu les Beatles (et d’autres grands monuments de la pop culture), il fallait oser sortir ça sur grand écran. Et Danny Boyle l’a fait, avec brio. Entre ce réalisateur et moi, c’est comme le calme et la tempête : j’ai adoré certains de ses longs-métrages comme j’en ai détesté d’autres. Cette fois, il nous propose un feel-good movie conventionnel, toujours avec sa patte artistique cependant.
Continuer la lecture[CINÉMA] Ciné Express #16
Bonjour tout le monde ! Aujourd’hui, je vous parle de trois films que j’ai vus récemment : Les Invisibles de Louis-Julien Petit, After de Jenny Gage et The Perfect Date de Chris Nelson. Bonne lecture !
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Continuer la lecture[CINÉMA] Anna
Deux ans après le très bon Valérian (dont je ne comprendrai jamais le four au Box-Office mondial), Luc Besson fait un retour aux sources avec Anna. Il use ainsi de la recette qui a fait sa renommée et on sait donc sur quel terrain l’attendre. Comme toujours, le film se fait descendre parce que c’est Luc Besson derrière la caméra. Moi, en tant que spectateur fan de son cinéma, mes attentes ont été comblées.
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