Un an après mes coups de gueule successifs sur les réseaux sociaux, je reprends cette série d’articles. Cette fois, je change de ton : je passe du pessimisme à l’optimisme ! Est-ce possible, en fin de compte ? Certains réseaux sociaux seraient-ils bienveillants ? C’est ce que j’ai pu découvrir et constater avec Google+ !
Après mon départ du jour au lendemain de la trinité royale virtuelle, je ressentais un manque. En plus du fameux sevrage qui vous oblige à résister au fameux cercle vicieux de l’addiction en ligne. Je n’avais plus vraiment d’endroit où m’exprimer sur mes passions (mis à part mon blog, bien entendu). Et c’est ce qui me manque encore aujourd’hui : un endroit tiers où je peux interagir avec des passionné(e)s de cinéma, de musique, de séries… sans m’autocensurer et dans une optique de partage. En attendant, j’ai trouvé chaleur et liberté d’expression chez Google+.
Le mal-aimé du social media ! Le vilain petit canard que peu d’internautes portent dans leur cœur ! Je dois avouer qu’à l’époque, je ne voyais pas vraiment son utilité. J’étais même étonné que Google ne l’ait pas fermé avant aujourd’hui. Alors, me voilà en train de créer (de nouveau) un compte pour tenter l’aventure +++ ! Ce réseau social, qui est arrivé (malheureusement) à terme, est ainsi la preuve qu’on peut encore communiquer sereinement sur Internet.
Bon, c’est vrai que je n’avais même pas un dixième des abonnés que j’avais sur Escape To Cinéma. Le réseau social était désert la plupart du temps (pour ne pas dire toujours). En tout, j’échangeais avec deux personnes : mon ami Kévin des Musicultes et Diane (que j’ai connue par son intermédiaire). Ce fut d’ailleurs de beaux échanges et nous avons d’ailleurs beaucoup de goûts en commun. Et je postais des liens de vidéos ou d’articles que peu de personnes voyaient. Mais quelque part, cet « anonymat » m’arrangeait bien. J’avais besoin de ça pour me sentir en sécurité en ligne, même si, au fond de moi, j’aurais aimé retrouver cette « notoriété » que j’avais.
Enfin, Google+ m’a permis de réévaluer mon rapport avec les réseaux sociaux et, surtout, de savoir les utiliser correctement. C’est vrai que je n’arrivais pas à mettre de limites sur le plan virtuel. Cette fois-ci, il ne s’agissait pas de m’étendre sur les moindres tracas de ma vie, mais de promouvoir mon blog et ses différentes thématiques. Ce que je suis parvenu à faire, à ma grande surprise ! Google+ reste donc une belle expérience pour moi, dans ce domaine. Et c’est avec grand regret que je dois le quitter.
Google+, mon ami : tu me manqueras beaucoup !
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