Bonjour à toutes et à tous ! Aujourd’hui, je reviens avec un billet « humeur », puisqu’il sera question de ma deuxième collaboration avec le site web Wiki Geek. Si vous vous souvenez bien, je m’étais posé la question suivante : « De quelle manière j’écoute la musique ? » Cette fois, il s’agit du Septième Art ou les manières dont je l’aborde. J’apporterai ainsi un point de vue personnel.

Le Cinéma et Moi : une histoire qui commence par un grand A !

Tout est dans le sous-titre ! C’est simple : le Septième Art a fait partie de ma vie dès mon plus jeune âge ! À chaque fois que je passais devant un cinéma, je ne pouvais pas m’empêcher de m’arrêter quelques secondes pour en admirer la devanture. Et quand mes parents m’emmenaient voir le dernier Disney – si vous êtes de la génération 90 vous aussi, vous comprendrez –, c’était un événement majeur pour moi, parce que j’allais regarder un film sur grand écran. Puis, le cinéma s’est fait entre amis, jusqu’à se faire progressivement en solo.

Je me débrouille toujours pour trouver un film intéressant à voir, que ce soit pour son synopsis et ses personnages, son réalisateur, son casting ou sa bande-annonce. Je peux donc tout aussi bien regarder un simple film d’auteur qu’un gros blockbuster fantastique et une bonne comédie, par exemple. Je préfère cependant me rendre au cinéma durant des heures « creuses », comme ça je suis sûr d’être tranquille. Mais être dans une salle pleine à craquer peut être agréable également, surtout s’il s’agit d’un film très attendu. Or, j’avoue que je ne supporte plus les gens qui bavardent entre eux durant la séance – allo, t’as payé ton ticket dix euros ! Comme j’évite d’aller voir les films d’épouvante/horreur en salle désormais, à cause du public cible. Ce qui m’amène, par conséquent, à la deuxième partie de cet article…

Le Septième Art : sur place ou à la maison ?

Selon moi, il y a deux cas de figure : le spectateur qui a un abonnement illimité et celui qui n’en a pas. J’ai été dans ces deux cas et ça a (plus ou moins) influencé mon mode de « consommation » cinéphilique. Bon, il y a aussi la possibilité d’aller au cinéma deux à trois fois par an, mais vous l’aurez certainement compris, c’est impossible pour moi ! Ok, j’avoue qu’il peut m’arriver de ne pas y aller pendant trois semaines (par exemple), notamment parce qu’il n’y aura rien d’intéressant à l’affiche.

J’ai été abonné au PASS Gaumont/Pathé de fin 2009 à fin 2014 – la société Gaumont a décidé de se faire la malle, laissant ses fidèles comme moi désemparés. Quand vous avez un tel abonnement, que vous alliez voir le pire des navets, le dernier gros film U.S. en vogue ou votre film du moment dix fois de suite, vous vous en foutez : vous payez vingt euros par mois et ça s’arrête là ! C’est d’ailleurs par ce biais-là que j’ai fait beaucoup de découvertes (bonnes comme mauvaises) et que j’ai pu apprécier certains long-métrages dont je n’attendais absolument rien. Et quand des œuvres cinématographiques vous plaisent plus que d’autres, vous en profitez pour les revoir (seul ou accompagné) ! Croyez-moi : quand Gaumont a annoncé son départ, j’ai cru que j’allais faire une grosse dépression.

Quand j’ai dû résilier mon abonnement, je suis devenu (très) sélectif quant à ce que je voulais voir. Je m’arrange néanmoins pour aller au cinéma les jours où le tarif est réduit, comme le samedi matin. J’essaie également d’aller voir les films en VOST, quand ils sont diffusés dans cette version-là chez moi. Par contre, j’ai banni toute séance en 3D, ce procédé étant prétexte à faire plus de fric qu’autre chose pour moi – les rares exceptions existent, comme la ressortie de Titanic. Qui plus est, je regarde de plus en plus de films chez moi : soit car leur sortie sur grand écran ne m’intéressait pas suffisamment pour que je paie une place, soit parce que je préfère en voir certains tranquillement chez moi (cf. l’exemple des films d’horreur/épouvante dans la partie précédente).

Quant à la question suivante : « est-ce que j’achète un film en Blu-ray si je l’ai apprécié au cinéma ? », disons qu’il y a eu une période où j’en achetais tous les mois. Maintenant, j’achète uniquement les Blu-ray que je suis sûr et certain de revoir sans m’en lasser.

Bref, j’apprécie autant une séance obscure dans un fauteuil qui n’est pas mien qu’une « soirée DVD » devant ma télévision !

Une place pour les séries T.V. ?

Si je connais beaucoup de gens autour de moi qui sont des sériephiles dans l’âme, je ne le suis pas autant. J’ai eu effectivement une période où je suivais jusqu’à dix séries T.V. à la fois, jusqu’à ce que ce fût impossible pour moi. De plus, les séries dont chaque saison fait plus de vingt épisodes ont tendance à m’agacer. Après, si la série me plaît dès le départ, je la regarde jusqu’au bout. Tandis que j’en lâche d’autres en plein milieu, parce que je trouve que ça tourne en rond (par exemple).

Je me suis récemment remis aux séries. Cela dit, je privilégie les saisons courtes, tout simplement car je mets moins de temps à les regarder en entier ! Je privilégie aussi les séries dont l’histoire et/ou les acteurs m’intéressent davantage, ce qui me permet donc de les suivre à mon rythme.

Peut-être que ça donnera lieu à plus d’articles sur les séries sur le blog ? Wait and see…

Conclusion : la télévision et les résultats de l’enquête !

Je conclurai ce billet « humeur » en abordant mon rapport avec la télévision. Et la réponse sera très courte : je la regarde une fois tous les six mois. Je m’en sers surtout pour les jeux-vidéos et pour regarder des films. Néanmoins, j’ai récemment téléchargé une application sur mon Smartphone, qui me permet de savoir quel film sera diffusé durant les jours qui viennent. C’est d’ailleurs comme ça que j’ai enfin vu le grand classique qu’est Pretty Woman ! <3

À présent, place aux résultats du sondage – la dernière question s’explique par le fait qu’on avait lancé l’enquête au mois de février ! Si vous n’y aviez pas participé, dites-moi en commentaire si vous êtes d’accord avec les réponses des internautes ! Sur ce, je vous dis à très vite pour de nouvelles critiques !

Graphiques réalisés par Arthur Dupont.