Après le premier et le deuxième volet, la saga Sans un bruit (A Quiet Place en VO) s’offre un prequel. C’est ainsi qu’on découvre comment notre monde est devenu silencieux, notamment dans la ville de New York. Le film débute d’ailleurs en nous expliquant que les 90 décibels de NY équivalent à un cri strident permanent. C’est donc ironique de voir un lieu aussi animé que celui-ci être réduit au silence du jour au lendemain (même si c’est fictif). Cette situation à l’écran est-elle convaincante pour autant ?
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